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Message  Camsou Mar 5 Aoû - 15:58

lie à ecrit cette histoire suite à un reve et à ma demende c'est un petit cadeau
bonne lecture et felicité-la




Les Mexicains




Chapitre 1 :

Je me tenais tranquillement dans l'emplacement de la classe d'espagnol en attendant mon professeur qui devait arriver d'une minute à l'autre puisque la sonnerie annonçant la fin de la récréation de dix heures venait de sonner. La neige tombait à gros flocons et la cour commençait à ressembler à un énorme duvet de neige. Je contemplais ce paysage merveilleux quand une voix s'éleva du rang voisin :
« Bella ?
-Alice ?
- Ben oui, qui veux-tu que ce soit ?

Ce lutin haut comme trois pommes parti d'un rire charmant. Je devais bien faire une tête et demi de plus qu'elle. Son manteau sombre tombait au milieu de ses cuisses. Son pantalon slim offrait une petite partie du spectacle d'un corps sans défaut. La seule tâche de couleur sur ce petit être qui semblait si fragile se bornait à ses converses roses, son visage, aussi blanc que les flocons tournoyant autour de nous, ne comptant pas.

Son visage semblait avoir été sculpté par un ange, me montrant ainsi combien j'étais banale et sans intérêt. Elle avait beaucoup maquillé le contour de ses yeux en mettant du crayon, du mascara et du fard à paupière noir, ce que faisait d'autant plus ressortir le couleur d'or de ses yeux .Ses cheveux, coupés en petit dégradé au niveau de ses oreilles mettaient en valeur la blancheur de sa peau par leurs couleur d'un noir de jais en un mot, elle resplendissait.

Nous commençâmes à parler de chose sans importance comme la neige qui tombait déjà à cette époque de l'année, des cours que nous aurions après (musique pour elle, espagnol pour moi), quand un garçon la pris par la taille et l'embrassa dans le cou.
« Jasper, lache moi...non, pas ici ...JASPER !!! »

Jasper me fit un clin d'œil et nous nous esclaffâmes car il tenait toujours Alice dans ses bras à une certaines distance du sol. Celle-ci agitait frénétiquement les bras comme un oiseau pour essayer de se libérer, ce qui soulignait son hystérie.

Quand Jasper l'eut lâché, je me rendis compte du contraste entre eux, physiquement parlant. Il devait mesurer un mètre quatre vingts dix, quand elle ne faisait qu'un mètre cinquante. Les cheveux de Jasper étaient blond et mettaient en valeur ses yeux noirs sur son visage divin. Le tout s'accordait à la perfection.

Je me sentais un peu mal car ces yeux d'un noir d'encre confirmaient qu'il n'était pas rassasié. Cela me rappelait le jour de mon anniversaire quand il s'était jeté sur moi. C'était pour çà qu'Edward était parti... Je ressenti une douleur au niveau du cœur.
« Bella, on se voit à la sortie pour discuter de choses plus importante, d'accord ?
-Oui. On ira dans le bois ?
-Non, on empruntera la rue marchande, on t'offrira une glace et on rentrera à la maison, d'accord ?
-A tout à l'heure. »

Je partis me ranger avant que le prof d'espagnol, qui avait mis beaucoup de temps à descendre, arrive. Pourquoi voulaient ils me parler ? De quoi voulaient ils me parler ? Ces questions me turlupinèrent toute la journée.

A la fin des cours, je rejoignis Alice et jasper sur le parking. J'avais hâte de leurs demander ce qu'il se passait. Ils ne me laissèrent pas le temps d'ouvrir la bouche et me parlèrent de choses banales en m'entrant vers la rue marchande.

Un fois engloutit par la foule et couvert par les bruit de la rue, il m'expliquèrent que les vampires avec qui Jasper avait combattu au Mexique avaient entendu parler de moi .de mon « don » à ne souffrir aucun de leurs « pouvoirs ».
Ils seraient bientôt là, mais il ne fallait pas m'inquiéter. D'après les calculs, ils n'était pas nombreux et donc ce serait facile de les retenir .en plus, ils ne seraient pas là avant 3 jours.

Alice s'interrompit quand nous arrivâmes devant le marchant de glace .elle m'en offrit un à la praline, sourde à mes protestation .Je ne voulait pas les laissé m'acheter la plus petite babiole que ce soit .J'avait me fierté ...

Une fois repartie, nous reprîmes notre conversation et ils n'échappèrent pas à l'interrogatoire.
« D'après quels calculs, les vampires mexicains ne seraient pas nombreux ?
-Et Bien Bella, je vois que tu oublies vite mes prémonitions, me répondit Alice.
-Combien de fois les as-tu vus sans que je sois là ? continuai-je.
-Trois fois, inspecteur Colombo, plaisant-t-elle.
-Et combien de fois quand j'étais là ?
-Aucune.
-Et tu penses qu'en me fiant à seulement trois de tes visions, je vais vous laisser vous tuer ? explosai-je. Tu as perdu l'esprit. C'est décidé, je vais partir très loin.
-Arrête de t'énerver comme ça Bella, riposta-t-elle. On s'en est bien sorti contre Victoria et je n'ai pas eu beaucoup de visions d'elle non plus.
-Bon d'accord, d'accord, calme-toi, lui ordonnai-je. Tu dis qu'ils ne seront pas là avant trois jours, alors demain je pars me réfugier en Alaska.
-Bella, ça ne sert à rien, souffla Alice
- Mais si, ça vous fera gagner du temps, m'écriai-je, des sanglots dans la voix. Je m'en voudrais si quelque chose arrivait.
-Ne t'inquiète pas, tout ira bien. »

Elle me pris dans ses bras si petit et me caressa les cheveux .Cela m'apaisa.

Jasper nous conduisit jusqu'à la Volvo d'Edward garé sur le parking .Celui-ci nous attendait, à la place du conducteur

Edward alla ouvrir la porte du cote passager, mais quand il vit ma tête enfouie dans le cou d'Alice, il se ravisa et Débloqua les portière arrière .Je m'assis et Alice attacha me ceinture tandis qu'Edward me tendait un paquet de mouchoir.

Quand je repris mes esprits et que je fus en capacité de suivre un conversation normale (ou plutôt sur naturelle, entant donne que trois vampires m'entouraient), je leurs annonçais :
« Apres l'attaque des Mexicain, je veux que tu face ma transformation, Edward.
- nous en avons déjà discuter arrête de remettre toujours sa sur le tapis. Ce n'est pas ta faute si des monstres me poursuivent, on est habitué.
-Tu me l'as promis et bien sur que c'est ma faute !!! Au moins, quand je serait transformée, je ne serait plus un handicap pour vous, me plaignis-je.
-On en discutera ce soir, trancha le vampire de mes rêves.

Un silence pesant s'installa dans l'habitacle. Nous étions tous perdus dans nos pensées et je me disais que je n'aurais pas du évoquer le sujet. Je pris la bonne résolution de ne plus m'emporter quoi qu'Edward dirait.

Quand le silence devint trop intolérable, je m'apprêtais à enchaîner sur un sujet anodin, Alice me coupa la parole :
« As-tu des nouvelles de Carlisle et Esmée, Edward ?
-Oui, ils ne rentrent pas avant deux jours, répondit mon amour à sa sœur.
-Comment ? Carlisle et Esmée sont partis ? Mais où sont-ils ? Savent-ils que des vampires nous attaquent ? criai-je, oubliant ma bonne résolution.
-Ne t'emporte pas Bella. Carlisle et Esmée rendent visite aux Denalis et je pense qu'ils savent que nous seront attaqués puisqu'ils avancent leur date de retour, me répondit Alice. N'est-ce pas Edward.
-Oui, ne te met pas sur tes nerfs pour une histoire comme ça, c'est inutile, observa Edward.
-D'accord, mais je voudrait passer ma nuit chez toi, imposai-je .Je serais plus rassurée. C'est toujours comme ça quand je suis près de toi »

Je n'osai pas lui dire des choses plus intimes en présence des membres de sa famille. Mais je comptais bien profiter de lui cette nuit.
« Bien, mais prévient Charlie .Que vas-tu lui raconter ? Me questionna-t-il.
-Euh...Eh bien...Je lui dirais que, comme Alice n'était pas sûre que nous en aurions à nouveau l'occasion, elle aimerai que nous puissions faire un dernière semaine entre filles ,proposai-je.
-C'est bien mais, et moi ? Que lui dira tu sur moi ?
-S'il ne pose pas la question, je ne dirai rien .Mais s'il la pose, je lui dirai que tu es la, tout simplement...Parce que, depuis qu'il sais que nous allons nous marier, et de puis le jour ou tu lui a tenue un discours contre les rapport sexuel avant le mariage, il ne doute pas de moi ni de nos relation pour l'instant . Mais... attends voir, tu sais déjà ce que pense Charlie, alors, pourquoi me demande-tu ce que je vais lui dire ?
-Simple question, affirma-t-il.
-Et ?
-Bon, je voulais juste savoir si tu avais honte de moi et si tu avais des secrets sur nous que tu ne racontais pas à ton père.
-Mais bien sûr que non, je te l'ai déjà dit, lui répondis-je avant de partir d'un rire à m'en faire mal aux côtes.
-Je ne vois vraiment pas ce qu'il y a de drôle, se vexa mon Apollon.

Alice et moi nous regardâmes avant de rire de plus belle à cause du ton de mon amour, si sérieux. A voir notre hilarité, Jasper et Edward sourirent, puis, après une minute ou deux, nous riions tous à gorge déployée.

En s'engageant dans l'allée qui menait à leur superbe villa, je m'aperçus que la neige n'avait pas cesser de tomber, ce qui était rare puisque nous étions fin septembre.

Je fit un rapide calcule : je rentrais à l'université dans un mois. Novembre me paressait pourtant si loin...

Edward gara sa voiture et m'aida à en descendre. Alice m'appris (je mis attendrais) que son cours de rattrapage en musique (qu'elle suivait uniquement pour passer du temps avec moi) ne l'avait pas du tout aidée .Moi, au contraire je faisait d'énormes progrès en espagnol, cette langue étant la seul matière pour la quelle je devais m'accrocher.

Nous montâmes à l'étage en continue en a parler de nos professeur respectif. Alice entraîna Jasper dans sa suite personnel et Edward me porta jusqu'à sa chambre.

J'appelais Charlie pour lui dire que je restais chez les Cullen jusqu'à la fin de la semaine. Mais argument lui suffire et il me souhaita un bonne semaine sachant que je ne reviendrait pas à la maison puisque j'avais quelque effet personnel chez les Cullen.

Comme je raccrochais, Edward me prit dans ses bras et m'emmena jusqu'au magnifique lit, ici, exprès pour moi, tout en m'embrassant. J'adorais ses baisers et ces mêmes frissons que j'avais ressenti la première fois dans la clairière, toujours présent.

Il enleva sa chemise crème. Je le contemplais et je fis le contour de ces muscles avec mes doigts. Il aurait pu retenir un troupeau de buffles avec de pareils biceps. Ses avant-bras étaient fins mais si puissant... Sa poitrine était forte et ses abdos présents et discrets. Il pouvait me tuer sur un coup de tête mais j'avais confiance en lui.

Son visage était allongé et fin. Ses lèvres restaient toujours aussi malgré la chaleur de nos baisers. Son nez était droit et... parfait. Ses cheveux bruns en batailles gardaient des reflets cuivrés. Je gardais toujours ses yeux pour la fin. J'étais hypnotisée lorsque je plongeait mes yeux dans les siens, de vrais topaze à l'état pur. Le tout confirmait que cet être très pâle, semblait être la représentation d'Apollon améliorée.

Je l'embrassais encore et encore. Et je n'étais jamais rassasiée par ses baisers.

Soudain mon vampire adorer se raidit. Sa mâchoire se crispa. Je ne comprenais pas pour quoi .Nous nous embrassions et je n'avais pas étais plus loin .Je lui demandais ce qu'il se passer :
« Ils ne ton pas tout expliqué, répondit il
-qui ?
-Alice et Jasper.
-Sur la venue des mexicains ?
-oui
-que se passe t ils que je devais savoir, m'enquis-je.
-Les mexicains...bon, Bella ;je ne veux pas dire des choses qui te feront du mal mais le veux que tu sache qu'ils n'arriveront pas à fait ce dont ils ont l'intentons...
-Tu pourrais, s'il te plais ,être plus précis ? je ne comprend rien ,l'in formais je .
-Ses vampires veulent comprendre pourquoi tu ne soufre aucun pouvoir, quel don tu développais si tu étais vampire et comment ils pourraient...Euh...essayaient de s'approprier ta force à ne rien ressentir, expliqua t il.
- Tu ne pouvais pas dire qu'ils voulaient tenter des expériences sur moi, m'intéressai-je.
_ Euh... oui. C'est une manière de dire les choses... je m'émerveillerai toujours devant ton calme face à des situations effrayantes, me souffla-t-il doucement. »

Je rougis puis lui demandai si Alice et Jasper n'avaient pas oublier de me prévenir de certaines choses comme, qu'en fin de compte, les Mexicains arrivaient de main. Il me dit qu'il n'y avait pas de problème pour ça, ils pouvaient arriver demain, comme dans une semaine. Mais qu'il entendait ces monstres parler de trois jours.

Cela me rassura un peu mais j'eus le pressentiment que, comme les autres fois, Edward pouvait y laisser sa peau. Il dû se rendre compte que quelque chose me tracassait, mais il ne dit rien et recommença à m'embrasser passionnément.




.


Dernière édition par Camsou le Mar 5 Aoû - 16:02, édité 1 fois
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Message  Camsou Mar 5 Aoû - 15:59

Chapitre 2

Je devait sûrement être endormie quand Edward avait posé ma tête cotre son torse car,quand j'ouvrit les yeux,il faisait nuit noire .J'entendait des sorte d'échos des bruit de fond ,qui venait du rez de chosée .

Edward était tendu. C'était sûrement ça qui m'avait réveillée .je l'enlaçait et je l'embrassai dans le cou. Il ne réagit pas .Il semblait perdu dans « ses » pensés.

Je m'étirai puis jetai les drap .je me rendis conte que j'étais habillée.

Edward se tourna vers moi .Il me regarda comme s'il prenait conscience de ma présence .Il se pencha vers moi et m'embrassa fougueusement, d'un baisse long et brutal. Je me pris a penser que s'était un baisse des fin ; peut-être d'adieu. Je pris peur. Ce baiser devenait de plus en plus insistant, trop insistant.

La porte de la chambre S'ouvrit soudainement sue Emmett,ce qui eut pour effet de séparer nos lèvres .

Je respirais un grand coup

Emmett ouvrit la bouche
-désolé, mais ils sont là Edward.
-J'avait cru comprendre merci, railla celui-ci
-Ils sont très nombreux
-Combien ?
-Une quinzaine, mais on en tué trois ,répondit Emmett ,non sans fierté.
-Bon Dieu, jura mon adoré
-Ils ne vont pas tarder à montrer
.On fait le maximum pour en tuer le plus possible mais ...Euh...protége la. Bonne chance, vieux » avertit Emmett avant de courir continuer à aider les autre en bas.

Je restait bouche bée .L'apparition de Emmett avait était si rapide que je n'avait pas eu le temps de le détailler pour ce qui semblait être la dernière fois.

Son importante carrure m'avait paru plus accentue par le contre jour du couloir étant allume. Son visage si sympathique m'avait semblé anxieux, et les boucles châtaines avaient disparu si vite

Un détail me troubla :
« Pourquoi a-t-il parlé « normalement » ? Interrogeai-je.
-Pour que tu puisses comprendre, ça aurait pris plus de temps si j'avait du t'expliquer. »
Mon apollon avait à peine terminé sa phrase que la porte s'ouvrit à nouveau à la volée pour laisser entrer deux vampires.

Edward me cacha derrière lui de façon à pouvoir bouger vivement.

Le jour ou j'ai vu Victoria pour la dernière fois me fit penser en un éclaire a la scène que j'était en train de vivre.

Edward se déplaça lentement vers la porte .J'avait compris le plan d'Edward .Il irait devant la porte, moi dernière lui. Je devrai fuir de la maison pendant que lui se battrait contre les vampires.

Mais, une vampire entra dans la chambre de façon à boucher l'accès.

Je compris vite que la « femme » qui venait d'entrer était MariaElle ressemblait au portrait que Jasper avait dressé d'elle. Maria avait effectivement l'air d'une meneuse.

Quand elle entra les autre eurent un petit geste respectueux envers elle. Elle ne le releva pas et s'intéressa à moi :
« Ne serait-ce pas Bella ?demanda-t-elle

C'est vrai qu'elle à l'air d'être un sacré trésor pour que vous veilliez sur elle comme ça, poursuivit-elle en regardant la chambre avec dégoût.
J'ai hâte de commencer, et pas d'en finir avec toi, me dit-elle, un sourire sarcastique au lèvre.
-Tu ne feras rien du tout maria » Répliqua Edward

La porte était de plus en plus près .Quelque centimètre et maria ne serai plus qu'un mauvais souvenir Edward ni tins plus .Il rugit contre Maria et les deux autres .Ceux-ci eurent peur et s'éloignèrent d'un ou deux pas

Il n'en fallut pas plus à l'amour de mon éternité pour me jeter dehors
« Va-t-en Bella. Vite, supplia-t-il
-Je veux que tu me promette qu'il ne te feront rien »

Je perdait du temps et m'en voulait de déconcentrer Edward, mais il fallait que je sois sure .Sinon à quoi servait cette course poursuite si ma vie pouvait finir au bout :
« Je te le promet. COURS mais ne vas pas chez toi si tu teins à Charlie ! COURS dans le bois .Je te retrouverait !me cria-t-il

Je courus dans les escaliers, dans le couloir du 1er étage. Les bruits de bataille se rapprocher

Je ratai une marche en descendant au rez de chaussée .Pourquoi fallait il que je sois aussi peu rapide ?

En arrivant au salon, je ne puit m'empêcher de regarder le champs de bataille : des verres des vases des bibelots fracasses ,le canapé retourné,les pieds de la tables dans tout les coin de la pièce...

Huit vampire ennemis étaient parterre .Alice était étendue dans un coin de la pièce et jasper essayait de la ranimer. Rosalie et Emmett ne savaient plus ou donner de la tête.

Je m'enfuit de cette maison ou j'avait semer le malheur Je courut plus vite que je ne l'avait jamais fait pour échapper a un destin qui me poursuivais et auquel je n'échapperai pas.

Je sentais à peine l'air frais .Il était plus doux que pendant la journée –bizarrement- mais des goûtes de pluie glacée tombée. Elles inondaient mon visage.

En arrivant a l'orée du bois, je bombait a cause d'un racine, mal enfoncée dan la terre d'un arbre. Sans l'aide d'Edward, ça allait être coton ...

J'avançai le plus vite possible. je restait quelques temps dans le bois ,perdu,me guidant par instinct en pensant à la famille Cullen. Comment allait-ils ? S'en sortiraient-ils ? Edward m'en voudrait-il ?

Puis je pensai à moi : quelqu'un m'avait-il suivit (un vampire) ? Apres être sortie des bois que ferai-je,Et si Edward ne venait pas me chercher Soudain, je senti une présence autour de moi ...un rire ? Un vampire m'avait suivie. Mais il me devançait, pourquoi ? Pourquoi ne pas me tuer, maintenant ?

Comme réfléchir en même temps que courir m'était difficile, je butai encore contre des rondins de bois.

Je m'arrêtais puisque le vampire n'avait pas l'air de vouloir me tuer .Je m'assis sur un tronc d'arbre.

En moi, je sentais une voix ...-ma conscience- ?me dit de mettre le plus de distance entre le vampire et moi .Mais je rester assise. Tant pis si Edward m'en voulait.

Le vampire tournait autour de moi pour que je ne lui échappe pas. Il n'allait pas être déçu .Je me livrais.

Il vint se placer devant moi .Il n'avait pas l'air méchant : Ses yeux n'était pas rouge.
Quoique ...il faisait noir .mais la lune l'éclairait assez pour que je remarque qu'il devait avoir environ vingt-cinq ans et que je détaille son visage .Il avait les joues pleines, le front était étroit et de ses mèches de cheveux raides lui tombait devant les yeux. Ceux-ci étaient noirs, mais ce qui me fascinait le plus, c'était leurs formes. Ils ressemblaient à des yeux de chats

Cet être était beau...très beau malgré la rondeur de son visage et la finesse de ses lèvres.

C'est parce qu'il me paraissait gentil que je ne m'était pas enfuie .Il rompit le silence le premier :
« Pourquoi ne continuez-vous pas à courir comme tout à l'heure ?On aurait dit un biche effarouchée qui enchape à la mort .
-Eh,bien vous n'avez pas l'air de vouloir me tuer,et vous n'avez pas l'air...d'un méchant vampire .Vous bien êtes sous les ordre de Maria ?l'interrogeai-je d'un des centaines de question qui me trottaient dans la tête.
-Vous avez raison. je ne me nourrit pas d'humain depuis que j'ai tué ma mère il y a bientôt 10 ans. Je travaille aussi pour Maria... -Mais pourquoi travailles-tu pour elle ?
-Elle m'apporte la compagnie et la sûreté d'un lendemain avec une table bien garnie,me répondit-il très patient et doux .
-Vous me surveillez mais pourquoi ne me tuer vous pas ? Vous ne seriez pas obligez de vous abreuver de mon sang, lui indiquai-je
-Maria tient à faire des expériences sur vous, pas à vous tuer,me rappela-t-il. Vous êtes trop précieuse .On m'a dit de que vous vouliez devenir vampire .Vous l'aimez tant que cela ?
-Je...euh...oui,je l'aime »soufflai-je.

Quelque chose dans son ton, dans sa voix m'incita à lui parler.
« C'est ça vote don ?questionnai-je.
Se voir accorder la confiance des gens ?
-Non, répliqua-t-il surpris .je peux immobiliser les éléments
-Pourquoi ne pas m'immobiliser, alors ?le défiai-je -Quelque chose en vous, me dit que vous étés plus précieuse que ce que l'on pence, m'expliqua-t-il
-Euh...Hésitai-t-je
-oui, M'encouragea-t-il
-C'est parce que je suis « précieuse » que vous me vouvoyer ?demandai-je
-oui.
-Excusez moi de me servir de vous comme cela, mais, comment s'en sorte les Cullen ?
-pas trop mal, indiqua t il. Votre vampire a tué les 2 jeunes au côté de Maria. Le sérieux- Jasper-, Celui que Maria connaît était préoccupé par la petite brune donc il se battait moins bien quand je suis sorti que quand je suis arrivé. La petite brune et bien ...euh je ne sais pas .Elle était allongée parterre .La grosse brute en a tue beaucoup et la blonde doit craindre de se casser un ongle. Mais votre vampire a du fil a retordre avec Maria, souffla-t-il doucement, pour ne pas m'effrayer
-Merci, m'étranglai je
-Attention. On approche. Courrez, que je vous tourne autour, ordonna le vampire.
A cet instant,un 2émeVampire arriva et essaya de se jeter sur moi. l'autre l'en empêcha.

Je ne fis pas répéter le 1er vampire et m'enfuit à toute jambe pendant qu'un bataille éclatait dans mon dos

Je rejoignis bientôt un chemin de terre sans racine sortant du sol pour me faire tombée mais je glissait sur la boue.

J'entendais toujours les coups des 2 vampires dans mon dos après 10 minutes de course. Je priai pour que celui qui m'avait aidé s'en sorte,et peut-être ,si Edward et sa famille voulait bien ,il pourrait nous rejoindre.

Je courait, derapait, glissait et trébuchait sur de gros cailloux .Au bout d'un moment qui me paru interminable, je distinguais 2 barrières encadrant un espace vide –peut-être une marche- mais il n'y avait rien au-delà .La nuit était si sombre ...Plus je m'approchait des barrières moins la foret était dense. Je sprintait .C'est barrière serai mon refuge.

Une dizaine de mètres avant la marche, la foret s'arrêta net.

J'allai si vite que je franchi la marche sans ralentir et voir ce qu'il y avait après .C'est a dire deux mètres de terre et...rien .Le vide.

Je sautai de cette falaise .ce fut un souvenir cuisant qui s'installa dans ma tête tandis que je volais. Cette chute ne semblait pas à la précédente. Il n'y aurait pas d'eau pour amortir le choque en dessous .Ce serait la terre .dure et sale .Meurtrière . Ce n'était pas le goût du risque qui me faisait sauter. C'était pour lui échapper au risque.

La seule chose que j'ai pu dire c'était son prénom .J'espérais qu'il ne verrait pas se spectacle, ou bien, qu'il pourrait me rattraper, mais, c'étais impossible. EDWARD !!!

Le sol se rapprochait à une vitesse vertigineuse.
Je n'avais pas voulu sauter comme à la Push ou comme Esmée...

Mon corps s'écrasa contre le sol avec un bruit mat.
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Message  Camsou Mar 5 Aoû - 16:01


chapite 3

Je sentais la morsure de la mort qui s'infiltrait en moi. Elle venait puiser au plus profond de mon être mes dernières ressources. Le long tunnel blanc était un mythe. Par contre, les gens que j'aimais n'en était pas un.

Je pensais d'abord à Charlie. Il n'aurait pas eu le temps de me dire au revoir. Moi non plus. Renée s'imposa à moi avec un visage grave. Elle avait dû sentir quelque chose car elle s'accrochait à Phil.

Angela et les bons amis du lycée se bousculaient dans ma tête. Elle était à son ordinateur et Mike à la boutique.

Le clan des Cullen s'immisça dans ma tête. Emett se battait contre un vampire. Rosalie se défendait mais n'attaquait pas « son » Mexicain. Jasper était étendu auprès d'Alice supposai-je. Carlisle et Esmée couraient, ils devaient sûrement revenir à la villa. Edward était au pied de l'escalier quand le vampire qui m'avait aidé arriva à bout de souffle.

Ils se parlèrent et, deux secondes plus tard, ils couraient dans les bois. A ma recherche ? Non. Je vis Edward achever le vampire qui avait voulu se jeter sur moi.

Il y avait un problème. Où était Alice. Je ne la voyais nulle part. Plus je me concentrais sur elle, plus je m'affaiblissais et plus je voyais de la brume. Mais pas d'Alice, nulle part.

Soudain, ce fût le trou noir. La mort, pensai-je.

Je sentis une intense brûlure au niveau du cou. Elle restât au même endroit pendant longtemps, trop longtemps à mon goût. Au bout d'une éternité, la brûlure incendia tout mon corps.

Elle s'attaquait à ma vie. Les flammes de l'Enfer léchaient chaque partie de mon corps. J'eu peur. Peur de devenir, je ne sais comment, ni pourquoi, ce que j'allais devenir.

J'avais choisi de devenir comme ça mais un sentiment de frayeur s'infiltrait en moi. Je n'étais pas prête. Pas autant que ce que je laissais supposer.

Tout à coup, mon corps devint tiède, puis froid. Cette fraîcheur n'était pas désagréable. Elle m'emmitouflait toute entière dans un manteau de neige.

Pendant plusieurs jours, je n'avais pas la force de bouger. Je restais alitée. De temps en temps, je sentais plusieurs présences près de moi. Edward, sans aucun doute, mais qui d'autre restait à mes côtés ? Je ne reconnaissais pas la deuxième personne qui veillait sur moi.

Au début, pendant l'incendie de mon corps, je demandais beaucoup d'eau, puis, je n'en voulais plus. Cette eau était détestable. Je me doutais que, dorénavant, je boirais du sang.

Après presque une semaine, je réussi à ouvrir les yeux et m'asseoir sur le lit. Je ne reconnaissais pas cette pièce. Je ne pouvais pas me trouver dans la villa des Cullen !

Edward sourit en me regardant. Il dit que j'avais les yeux d'un enfant en train de découvrir le monde.

Ce n'était pas faux, d'un certain côté. Je découvrais le monde à ma façon. Je m'émerveillais sur ce qui serais mon monde désormais.

Le lendemain de mon réveille, Edward me raconta, en présence de Steve, mon aventure près de la falaise :
« Bella, quand tu es tombée de cette falaise, la première chose que j'ai fait, c'était tuer le vampire que Steve à mit hors d'état de nuire.
-Qui ?
-Steve, le vampire avec qui tu as discuté cette nui-là, expliqua Edward.
-Oui, il est très gentil.
-Bon, donc j'ai achevé le Mexicain et je t'ai cherché dans la forêt puisqu'on n'avait plus besoin de moi à la maison, narra mon Apollon. J'ai fouillé chaque recoin du bois puis, au bout d'une heure, j'ai vu Steve, affolé, courir à ma rencontre. Il te portait dans ses bras. J'ai tout de suite compris ce qu'il était arrivé. J'étais paniqué, j'avais peur que tu sois morte alors, j'ai laissé mes traces en toi. Je t'ai ramené à la maison mais Carlisle m'a dit de te conduire ici...
-Oui et euh... où sommes-nous ? l'interrogeais-je.
-Nous sommes en Alaska, répondit-il en gardant son sang froid. Quand tu iras mieux, je t'offrirais un voyage en France. Mais là n'est pas la question... donc je t'ai amenée ici et j'ai veillé sur toi jour et nuit.
-Tu n'as pas cru que j'avais sauté exprès de cette falaise, j'espère, couinai-je.
-Mais non Bella, pour qui me prends-tu ? me questionna-t-il en me prenant dans ses bras.
-Comment vont les autres ? demandai-je
-Ils se reposent, le combat a été rude.
-Que va-t-on dire aux... humains ?
-Je leur ai déjà dis que tu t'étais noyée. Ils ne pourront pas retrouver ton corps. Charlie n'a rien, car il était trop abasourdi par cette nouvelle si c'est ce que tu veux savoir, répondit-il. Ils organisent tes funérailles la semaine prochaine et je suis invité. J'irais sûrement.
-Tu vas me prendre pour une folle ou une fille qui ne sait pas ce qu'elle veut mais je crois que je ne leur ai pas assez dit que je les aimais. Au moins, l'avantage avec ma nouvelle nature, c'est que je ne pleurerai pas, avançai-je.
-Je ne te prends pas pour une folle et je t'aimais bien quand tu pleurais, me contredit-il.
-Euh... j'ai faim
-Ah, enfin ! s'exclama Edward tout sourire, je t'ai rapporté du grizzli, du pumas et de la biche. »

Steve s'était tu pendant notre entretien mais il mangea tout le grizzli. Edward prit une cuisse de pumas. Quant à moi, je goûtais d'abord à tout puis me décidai pour reprendre de la biche.

Après un bon moment, je compris qu'Edward cherchait à savoir si, maintenant que j'étais vampire, je serais « lisible ». Il ne dû rien entendre mais moi j'enregistrais chacune de ses pensées. Il me trouvait jolie mais était triste de m'avoir transformé si tôt. Le meilleur point, pour lui, était que je n'avais pas perdu mon irrésistible odeur.

Le jour suivant, je n'étais pas du tout fatiguée et je n'avais pas besoin de dormir, je resterais ainsi, j'étais un vampire dorénavant.

Edward et Steven m'apprirent que nous partions dans l'après-midi pour la France où toute la famille devait se retrouver. Je m'interrogeais pour les funérailles, mes funérailles. Mais j'en appris bientôt plus. Quand Edward « cherchait » dans mon esprit ou qu'il se renseignait sur moi dans l'esprit des autres, je lisais toutes ses pensées. Il comptait donc aller à mes funérailles quand je chasserai pour être le moins long possible.

Nous arrivâmes en France en deux jours mais je fis perdre une demi journée à mes compagnons de route car j'allais si vite en courant et en nageant (la nage était moins risquée que de pendre l'avion) qu je n'avais pas eu le temps de maîtriser tous les réflexes, c'est à dire que je me prenais tous les obstacles possibles et inimaginables toutes les deux minutes.

Quand nous fûmes sur le sol français, je fus heureuse de revoir mes amis. Bien sûr, Carlisle les avait prévenus de l'arrivée de Steve dans la famille. Tout le clan était venu me saluer sauf Alice. Je m'étonnais. Quand j'interrogeais les autres sur sa disparition, ils baissaient les yeux ou changeaient tout de suite de sujet.

Le soir je parlais avec Carlisle :
« J'ai peur de m'emballer et de faire une bêtise, de tuer un humain. Je ne ressens pas de rage et j'ai l'impression d'être assez calme comparé aux images que vous m'avez donné des jeunes vampires. Je voulais savoir ce qui nous rendait agressifs et incontrôlables.
-Tu sais Bella, tout le monde -les vampires- n'est pas agressif ni incontrôlable. Tu m'as l'air d'être bien partie pour devenir comme ces chanceux-là, expliqua-t-il.
-J'ai une autre question. Je... euh... voilà, j'ai remarqué que, quand Edward essaie de « filtrer» mes pensées, j'entends les siennes, lui avouai-je, honteuse.
-C'est ton don, Bella, souffla-t-il estomaqué, après quelques secondes de réflexion.
-Qu'est-ce que ça signifie ? le pressai-je.
-Pendant ta vie, tu ne pouvais pas ressentir les pouvoirs d'Edward et maintenant tu peux les retourner contre lui.
-C'est grave ? l'interrogeai-je.
-Non, me rassura-t-il. Mais je ne pense pas qu'Edward soit le seul sur qui tu pourras exercer ton pouvoir.
-Comment cela ? l'encourageai-je.
-Et bien, si Esmée essaie de te materner, tu lui feras comprendre qu'entre vous deux, c'est toi la mère. Si Jasper veut te calmer, tu le feras changer d'humeur, sûrement de celle de ton choix. Si tu touches Rosalie, tu deviendras la plus belle femme du monde. Tu pourras me soigner en touchant mes mains et avoir la force d'Emett. Tu pourras également avoir des visions d'Alice...
-En parlant d'Alice, l'interrompis-je, où est-elle ?
- Je... euh... il faut que tu attendes. La vérité te fera trop mal. »

Sur ce, il parti rejoindre Rosalie. La discussion était close mais je me décarcassais pour avoir une idée du sort d'Alice, me refusant à imaginer le pire.

Quelques instants plus tard, je pus ressentir ce qu'elle éprouvait lorsqu'elle avait un vision.

Je vis une femme se faisant poursuivre par un homme qui voulait l'agresser ou la tuer. Je la distinguais en train de courir. Elle était au bord de l'épuisement ; Je pensais tout de suite que c'était Alice à cause des paroles précédentes de Carlisle.

Mais ça ne pouvait pas être elle. Alice était trop petite et avait les cheveux trop courts pour être la femme de ma prémonition.

Mon petit lutin avait dû la voir. C'était la seule explication possible.
Je courus vers Carlisle pour lui expliquer ce drôle de rêve. Il pensait également qu'Alice l'avait eu mais il pensait que si j'avais pu la lire, c'était parce qu'Alice se rendrait sur le lieu de l'action.

Je leur indiquait où cela se passait et nous nous y rendîmes sur le champs, plus pour arrêter le malfrat que pour voir Alice pour eux et plus l'inverse pour moi. J'eus le pressentiment qu'ils redoutaient cette rencontre, mais ce n'était qu'un pressentiment.
La ville fut vite trouvée et, au petit matin, Rosalie et moi courions à quelques mètres l'une de l'autre -j'essayais de ne pas aller trop vite mais plus vite que les autres tout de même- sur une grande avenue.

J'entendis Rosalie crier mon nom mais je restais devant, sourde à ses appels. Il ne fallait pas qu'elle me dépasse. Je devais arriver a première sur les lieux.

Elle me doubla puis je l'appelais comme elle venait de faire pour moi quelques minutes plus tôt. Comme elle ne ralentissais pas, je l'arrêtais d'une main sur l'épaule pour lui demander pourquoi elle allait aussi vite :
« Carlisle m'a expliqué en route, me haleta-t-elle en se laissant tomber au sol. C'est comme moi...
-Qu'est ce qui est comme toi ? » l'interrogeais-je en la prenant dans mes bras.

Le fait de la toucher me rendait belle, Carlisle ne s'était pas trompé ! Ce fût, dans cette grande rue, une des rares fois où je devins belle comme Aphrodite. Ma transformation m'avait rendue plus appréciable, mais quand je touchais Rose, je ne pouvais me décrire. Je sentais un changement dans mon corps et ma façon d'être...

Rosalie mit ses mains devant ses yeux. Si elle ne pleurait pas -les vampires ne peuvent pas pleurer-, c'était tout comme.

Ses longues jambes sveltes s'entrecroisaient. Le haut de son corps, agité de soubresauts, était serré dans un débardeur noir moulant encadré de dentelle fine, ce qui tranchait le blanc de son pantalon. Ses bras nus, tendaient des mains sans défauts sur son visage.

Quand elle enleva ses longs doigts parfaitement manucurés de devant ses yeux, on pouvait admirer ses lèvres pleines. Son nez, droit et délicat, se profilait entre deux yeux magnifiques. Ces yeux étaient grands et illuminaient son visage par leur couleur topaze. Le tout sur un visage allongé, encadré par des cheveux blonds et raides s'arrêtant au milieu du dos. Elle semblait avoir été façonnée par la grâce divine.

« L'histoire, mon histoire se reproduit, me répondit-elle.
-Je... je suis désolée, soufflais-je en pensant que, si je n'étais pas un vampire, je pleurerait sûrement comme une madeleine.
-J'était dans la rue d'à côté. Dans la rue voisine... Tu te rends compte ? Je croyais que ça ne finirait jamais.
-Chut, du calme, la consolai-je.
-Je criais, je hurlais, reprit-elle. Ils ne m'entendaient pas.
-Rose ! cria Emett, du côté opposé de l'avenue d'où l'on venait.
-Je ne veux pas que ça se reproduise continua-t-elle après avoir fait un signe à Emett.
-Je comprends lui chuchotai-je
-Je ne veux pas Bella... Je ne veux pas que ta prémonition se réalise, insista-t-elle avec le ton désespéré d'une petite fille.
-Tout doucement. Il n'arrivera rien à cette femme. Nous allons la sauver » lui assurai-je.

Emett arriva à ce moment-là et emmena Rosalie sur son dos pour aller plus vite, car elle n'avait la force de rien. Il parti comme une flèche mais je ne savais pas où il la menait.

Je me retrouvais seule quelques instants, le temps que Steve, Jasper, Esmée, Carlisle et Edward arrivent.

Qu'elle ne fût pas ma surprise quand j'aperçus Alice trottinant derrière eux.

« Regarde qui on a repêcher en route, me lança Edward.
-Alice ! Je suis contente de te revoir, m'excitai-je.
-Bon, on fera les retrouvailles plus tard. Pour l'instant, on a un malfrat à faire enfermer, nous rappela mon vampire.
-Je... euh... d'accord. Tu me raconteras tout ça.
-Alice, monte dans ce camion, maintenant, cria Edward.
-Edward, pas si fort » le gronda Esmée.

Alice s'installa quand même dans le camion pour aller plus vite, m'expliqua Edward.
Nous le suivîmes en essayant de ne pas nous faire distancer. Cela nous arriva mais grâce aux pensées d'Edward, nous le rattrapions. Alice sauta du poids lourd, courus un peu puis s'arrêta dans une impasse, nous sur ses talons.

Edward m'avait expliqué en chemin qu'Emett avait raccompagné Rosalie dans une maison abandonnée qui nous servirait de QG. C'est pour cela qu'ils ne seraient pas là.

Nous patientâmes quelques minutes puis, aperçûmes la femme de la vision qui courait vers nous. Le malfrat avait cinq mètres de retard sur elle.

La jeune femme se dirigea droit sur nous. Nous formions une barrière de protection. Quand l'homme nous vit, il compris qu'un piège s'était fermé sur lui. Il voulût s'enfuir mais Alice l'arrêta et appela la police -si elle avait suivi son instinct, l'homme serait mort, mais elle écouta sa raison- tandis que Carlisle aida la femme à se remettre de ses émotions.

Quand le chef de la police arriva, il nous remercia de notre aide et appela la famille de l'intéressée. Il emmena l'homme au commissariat et nous congédia. Nous rentrâmes tranquillement dans notre maison de séjour, loin de la ville.

La maison en question était un petit pavillon abandonné et sans acheteurs potentiels. Elle n'était pas aussi grande que la villa de Forks mais elle faisait entièrement l'affaire.

Nous narrâmes l'histoire qui venait de se dérouler à Rosalie et Emett, qui furent contents, bien entendu de retrouver Alice. Nous trinquâmes à son retour, à ma transformation et à cette journée.
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Message  Camsou Mar 5 Aoû - 16:02

Dès que je fus seule avec Alice, je lui demandais :
« Pourquoi étais-tu partie ? Pourquoi n'as-tu pas reparu depuis ma transformation et pourquoi les autres baissaient-ils toujours les yeux quand je parlais de toi ?
-Tu sais Bella, il y a des choses qui ne s'expliquent pas, répliqua-t-elle l'air grave.
-Mais ces questions font parties des choses que tu me dire, plaidai-je.
-Tu sais Bella, je euh... je vais faire simple. A la question pourquoi étais-tu partie, je te répondrais que, pendant la bataille, j'ai eu une blessure grave à l'endroit où on m'avait mordu lors de ma transformation. Je suis devenue amnésique, si je puis dire, parce que je me retrouvais dans ma vie humaine ne étant vampire. Je me suis enfuie quand Jasper ne me surveillait plus car je ne vous reconnaissais plus. A la question, pourquoi n'as-tu pas reparu depuis ma transformation, je te dirais que, après cet incident, j'ai vécu ma semaine avec tous mes sens de vampire qui fonctionnaient donc je me suis vite aperçue que je n'étais pas une humaine normale. Et pour la troisième question, si les autres baissaient les yeux c'est parce qu'ils savaient ce qui m'était arrivé mais ils n'avaient pas envie de te faire de peine.
-Comment... comment t'es-tu souvenue aussi vite de nous ? la questionnai-je.
-Les visions, je les avais gardées. Mais passons, s'impatienta-t-elle. Carlisle m'a appris pour ton don. J'ai hâte de faire des partis d'échec contre toi parce qu'au moins, une fois dans ma vie, je perdrais, fit-elle de son rire cristallin.
-Tu sais Alice, je m'étonne qu'il n'ai pas fait beau. Je pensais qu'il n'y avait qu'à Forks que le ciel était gris tout le temps, changeai-je de sujet.
-Bienvenue en Normandie » s'esclaffa-t-elle.

Plus tard dans la nui, c'était Alice qui vint me voir et me posa des questions sur ma transformation.

J'avais envie de rester parler avec elle jusqu'à ce que mon éternité soit terminée. Mais bientôt, je la quittais pour aller embrasser Edward. Nos baisers n'avaient rien perdus de leur sensualité, ils étaient même plus intenses.

Ce soir là, dans, les bras d'Edward, je pensais à trois choses :
Un, j'avais vécu ma première journée éprouvante en tant que vampire.
Deux, je passerai le reste de mon éternité auprès de mes amis les plus chers même si j'étais triste pour ceux que j'avais laissés.
Trois, j'étais follement et irrévocablement amoureuse d'Edward Cullen et ma vie à ses côtés promettait d'être... fascinante.
hitoire ecrite par Lie
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